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"Nous prévoyons un retour sur investissement bien inférieur à deux ans".
Pourquoi Geberit fait confiance à un fabricant d'AMR qui a une longueur d'avance sur les autres fournisseurs, en optant pour les motopropulseurs d'AGILOX, c'est ce qu'expliquent dans notre Success Story d'aujourd'hui, Andreas Fink, responsable de la production chez Geberit, et Norbert Brammer, spécialiste de la chaîne d'approvisionnement chez Geberit.
Les machines sont déplacées, les lignes de production sont modifiées, les rayonnages Kanban sont agrandis ou réduits et les gares d'enlèvement sont déplacées. La production de Geberit sur le site de Pottenbrunn est en constante évolution. Norbert Brammer en sait quelque chose. "Notre exigence vis-à-vis d'un motopropulseur (AGV) était donc non seulement qu'il s'intègre facilement dans notre infrastructure existante, mais aussi qu'il réagisse de manière flexible aux modifications de l'environnement", explique le spécialiste de la chaîne d'approvisionnement.
Que fait l'entreprise Geberit au juste ?
Issu d'une entreprise de ferblanterie, le groupe Geberit, présent dans le monde entier, est aujourd'hui le leader européen des produits sanitaires. Grâce à sa forte présence locale dans la plupart des pays d'Europe, Geberit offre une valeur ajoutée unique dans le domaine de la technique sanitaire ainsi que dans celui des céramiques pour salles de bains. Ce qui unit les quelque 12 000 collaborateurs répartis dans une cinquantaine de pays ? Une mission vécue en commun - la durabilité fait en effet partie de l'identité de l'entreprise. Des produits et des solutions respectueux de l'environnement, ménageant les ressources et durables pour une construction durable, des processus de production permettant de minimiser la consommation d'eau et d'énergie et de l'eau potable propre sont donc des thèmes centraux pour Geberit depuis de nombreuses années.
L'avantage AGILOX
"Nous étions à la recherche d'un fournisseur de motopropulseurs dont les appareils permettent une intégration simple et surtout sans complication dans l'environnement", raconte Andreas Fink, directeur de production chez Geberit. "Avec le système d'AGILOX, la mise en service s'est déroulée sans aucun problème. Du premier contact à la mise en service, il ne s'est écoulé que 15 semaines", ajoute fièrement Norbert Brammer. Mais ce ne sont pas seulement les mises en service Plug and Play, mais aussi les possibilités d'extension du système intralogistique autonome d'AGILOX qui y sont liées et qui se passent d'interfaces, qui offrent une valeur ajoutée essentielle aux clients. Dans ce contexte, l'entreprise propose des robots mobiles autonomes (AMR) AGILOX, dont les composants sont développés et produits sous un même toit. C'est la seule façon de respecter notre credo, à savoir développer un motopropulseur conçu de A à Z et en avance sur son temps. Et notre client Geberit nous donne raison : "Chez AGILOX, on a l'impression qu'un AGV a été conçu de A à Z. Avec d'autres fournisseurs, on a souvent l'impression qu'un chariot élévateur a été transformé en AGV. Et on remarque la différence", souligne Andreas Fink.
AMR AGILOX - puissant aussi en mode mixte
"Chez nous, les piétons, les chariots manuels et les AGV automatisés partagent les mêmes voies. Dans une entreprise mixte comme la nôtre, on cherche en vain des délimitations. C'est pourquoi, au début, nous n'étions pas sûrs que l'introduction des AMR se ferait sans problème. Mais nous avons très vite constaté que le scepticisme initial était totalement infondé. Nous n'avons même pas eu besoin de modifier ou de réaménager les trottoirs ou les voies de circulation et pourtant le système AGILOX fonctionne sans problème", raconte Norbert Brammer. Très vite, l'entreprise a reconnu les avantages d'une solution intralogistique automatisée et a mis en service un autre appareil. "Actuellement, nos deux véhicules sont utilisés à 85% de leur capacité et nous pensons que le taux d'utilisation se stabilisera bientôt à plus de 90%. Pour nous qui travaillons en trois équipes, cela signifie un retour sur investissement bien inférieur à deux ans", ajoute le spécialiste de la chaîne d'approvisionnement.
